mercredi 22 février 2012

Les chroniques du placard, spécial St Valentin : aimer, c’est se pourrir un peu.

Le Placard est dans un hall, lieu discret, écrin de choix pour une langoureuse
sérénade. Que cela soit devant ma porte, où devant ma fenêtre, à toute heure du jour ou de la nuit , explose le feu d’artifice de passions violentes et dévorantes… Fleur bleue, s’abstenir.

... D’abord, il y a le bourré-du-vendredi-matin-5h aux prises avec sa donzelle fumasse . Il a juré que « maiiiis non », il était « sorti avec perSONNEEE ! » et surtout qu’ « début [il était] pAAAAs bourré »(« au début », notez la subtilité). Bien sur, après avoir juré et juré encore qu’en boite, « y’avait pas de meuf », le mélodrame s’achève en un plat pardon « que veux-tu de plus ?! QUE VEUX TU DE PLUS ?»… les filles vraiment, ça ne comprends rien.

Ou encore, il y a les furies du milieu de semaine qui fument leurs clopes rageusement, hurlant avec raffinement, grâce et élégance, à leur amie bonne-oreille-bonne-poire , que « c’est qu’un fils de **** » et qu’ « il s’est «bien foutu de sa *** », « que le monde est rempli de fo*** ». Bref ! « tous des co**ards qui nous prennent pour des co**es » !

Alors, s’il vous prend l’envie de chanter la sérénade… ça me changerait de disque!

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